
Secteurs d’activités:
-Recherche d’eau, recherche de failles, localisation de fondations anciennes de tous types. Recherches historiques à caractère privé. Aide au positionnement d’objets disparus. Travail sur l’habitat pour déterminer les points négatifs à corriger. Formation.
ZONE D’ACTIVITÉ : l’ensemble de la région centre Val de Loire, toute la région Ile de France. Les autres départements ou pays étrangers peuvent être étudiés au cas par cas.
CLIENTÈLE : Les entreprises, les particuliers, les collectivités, les éleveurs, les agriculteurs, les maraîchers et les propriétaires de grands domaines ou châteaux.
DURÉE D’UNE INTERVENTION : De 2h30 à une journée suivant l’étendue des surfaces à prospecter ou parfois plus suivant la complexité de certaines recherches.
CONDITIONS D’INTERVENTION : Uniquement par temps sec. Les rendez-vous sont fixés en fonction de la météo.

En quoi consiste le travail du sourcier
Il devra principalement localiser les passages d’eau, les nappes phréatiques et les failles souterraines pour le compte de particuliers, d’agriculteurs, d’éleveurs, de maraicher, d’entreprises industrielles ou de collectivités.
Il fournira également tous les renseignement indispensables au bon déroulement du forage.
A savoir : la profondeur de l’eau, la quantité d’eau par mètre cube/heure. L’orientation de la veine.
Il Vérifiera à tout hasard si une veine secondaire croise la veine principale. Cela peut augmenter le volume .
Enfin il estimera la régularité du débit sur l’année en cours.
Géologie.
En géologie, à ces profondeurs là, rien n’est simple. Même si on arrive à connaitre les grandes tendances de roches ou de sédiments, la. nature peut parfois nous réserver bien des surprises. Il peut y avoir une. multitude d’obstacles ou de pièges à contourner. C’est là où l’expérience du sourcier est primordiale

Mes recherches sont effectuées de façon intuitive en utilisant principalement des baguettes, des pendules ainsi que d’autre instruments moins connus du grand public, comme par exemple l’antenne de Lécher ou le lobe de Hartman.
Ces outils n’ont rien d’exceptionnel en eux mêmes. Chaque sourcier les utilise à la manière d’une antenne qui captera les différentes forces et données présentes autour de lui. J’ai ainsi la possibilité de canaliser et cadrer mon propre ressenti par le biais d’un travail de concentration. Le mental joue un rôle majeur dans les résultats. On réalise pleinement à cet instant que de très nombreuses zones du cerveau humain restent aujourd’hui encore sous évaluées.
Pas de place à l’improvisation…
La sensibilité du sourcier.
Le sourcier va devoir aller chercher des informations qui peuvent parfois se trouver jusqu’à 200 mètres. Il devra indiquer la profondeur de l’eau, la largeur du passage, le volume, l’orientation de la veine ou encore préciser le nombre de mètres existant entre la surface et la nappe.
En géologie, à ces profondeurs là, rien n’est simple. Même si l’on arrive à connaître les grandes tendances de roches ou sédiments, la nature peut parfois nous réserver bien des surprises.
Il peut y avoir une multitude d’obstacles ou de pièges à contourner.
C’est là où l’expérience du sourcier est de toute première importance.