QUESTIONS/RÉPONSES: 

1/ Comment choisir son sourcier ?
2/ Quel est le prix d'un bon sourcier ?
3/ Existe-t-il des techniques d'approches différentes d'un soucier à l'autre ?
4/ Peut-on prendre le risque d'entreprendre un forage au hasard sur son terrain ?
5/ Puis-je tester au hasard un forage sur une vingtaine de mètres , pour voir ?
6/ Si j'entreprends un forage, suis-je assuré d'avoir de l'eau pas trop profonde ?
7/ Ai-je la certitude de trouver de l'eau si je constate que mon terrain est souvent trempé ou humide à certains endroits ?
8/ L'eau remonte dans mon sous-sol ou mon garage . Que se passe-t'il ?
9/ Quelles autorisations ou démarches administratives faut-il pour entreprendre son forage ?
10/ Quels sont les pièges à éviter pour le sourcier, le foreur et le client sur un forage ?
11/ Quelle est la durée de vie d'un forage ?
12/ Si le sourcier ne trouve pas d'eau sur mon terrain, est-il nécessaire de régler sa prestation ?
13/ Faut-il régler le foreur s'il ne trouve pas l'eau ?
14/ Combien coûte en moyenne la réalisation d'un forage ?
15/ Le sourcier peut-il proposer à son client le risque zéro ?
16/ Dans quelles conditions la collaboration de deux sourciers en binôme est-elle recommandée ?
17/ Quelle quantité d'eau faut-il prévoir pour les taches suivantes:
18/ Est-ce un problème en soi si des veines ou failles passent sous ma maison ?
19/ Quels sont les risques encourus si des veines ou des failles ou un vortex sont présents sous votre maison ?
20/ Que puis-je faire pour contrer l'effet de failles, vortex ou de veines sous la maison ?
21/ Pourquoi mon puits s'est-il asséché ?

Vous pouvez déjà utiliser le bouche à oreille. C'est souvent un gage de sécurité si le sourcier a fait un bon travail auprès d'une personne de votre entourage.
Renseignez-vous sur son expérience. Plus le sourcier travaille, plus il est aguerri.
Vérifiez également son périmètre de travail. Plus le périmètre est grand, plus sa notoriété dépasse les simples frontières de votre ville.
Demandez aux foreurs des gages sur la qualité du sourcier que vous envisagez. Informez-vous sur internet.
Le sourcier a-t-il eu des articles de presse écrite ou éventuellement des reportages TV ?
Vous pouvez aussi vous renseigner auprès de la chambre des métiers de votre région.
Un sourcier doit aussi être pointu dans son travail, regardez attentivement ce qu'il propose.
Veillez à ce qu'il passe plus de deux heures sur votre terrain afin qu'il prenne le temps de peaufiner son travail.
Evitez les sourciers du dimanche qui risquent de vous faire regretter le coût de votre forage.
La plupart d'entre eux n'ont pas une pratique régulière.
Un sourcier aguerri saura éviter les pièges et il peaufinera plus son travail.

Le prix d'un bon sourcier se situe généralement entre 300 et 500 euros suivant sa notoriété, le type de travail que vous lui demandez, la qualité de son intervention et peut-être aussi la région où il devra opérer.
Les frais de déplacement seront à prendre en compte par rapport au lieu où vous êtes situé.
Il va de soi que plus les surfaces à prospecter seront grandes ( par exemple plusieurs hectares ou plusieurs parcelles ), plus le prix sera évalué en conséquence.
Certaines recherches spécifiques ou fastidieuses pourront également justifier un tarif plus important.

Il peut effectivement y avoir des différences d'un soucier à l'autre.
Il est assez fréquent qu'un sourcier puisse privilégier ses petites habitudes.
Pour lui c'est une forme de confort dans son travail. Il n'y a pas qu'une seule approche technique mais plusieurs.
Il est toujours plus prudent pour un sourcier de diversifier et recouper différents contrôles. Cela permet de croiser les informations, d'éviter les pièges et les effets éventuels d'autosuggestion.
Le choix des instruments importe peu : baguettes en V ou en L, pendules, antennes de Lécher; tout fonctionne.
Ce qui importe, ce sont surtout les méthodes et l'intention mentale qui vont être appliquées avec ce matériel.
Chaque sourcier a sa propre sensibilité, son propre ressenti, et son propre parcours de vie. Il est important d'en tenir compte.
N'hésitez pas à lui poser vos questions

La réponse est malheureusement non.

Sachez que l'eau n'est pas présente partout. En forant au hasard vous avez 90% de chance de faire choux blanc.
Résultat: beaucoup de fatigue et beaucoup de dépenses pour rien.
Quatre facteurs seront importants pour un forage :
1/ l'emplacement exact de l'eau,
2/ la profondeur de la veine,
3/ connaître sa largeur pour permettre au foreur de forer en son centre,
4/ son débit et sa régularité à l'année.

Restera juste à faire confirmer la qualité de l'eau par un test en pharmacie ou en laboratoire d'analyse.

Oui, c'est toujours possible si vous êtes prêt à perdre votre argent mais sachez que vous ne serez jamais assuré d'être bien au dessus et au centre de la veine.
Vous ne connaîtrez pas la profondeur exacte du passage ni son volume d'eau en mètres cubes.
Ce volume permet souvent au sourcier d'estimer quelle sera la fiabilité et la durée du passage (ou veine) durant les prochaines années.

Pour vous donner une idée, la profondeur d'un forage peut se situer entre 7 et 300 mètres.
De façon plus courante on a plus tendance à forer plus au delà de 30 mètres qu'en dessous. Les foreurs affirment que la moyenne se situe généralement aux alentours de 60 mètres. Plus votre veine est profonde, plus vous augmentez les chances que le débit reste régulier à l'année.
Grâce à la profondeur, la qualité de l'eau doit normalement s'avérer excellente. Elle sera mieux filtrée et plus claire.
Après, il y a toujours des exceptions aux règles. Vous pouvez très bien avoir une veine de qualité entre 25 et 30 mètres.

Hélas non.
Il s'agit très certainement d'une zone argileuse qui retient l'eau en surface sur des parties de votre terrain.
Cette argile peut soit se gonfler d'eau, soit produire un effet d'imperméabilité.
Cette eau aura du mal à s'évacuer et elle aura tendance à stagner surtout si le temps est constamment pluvieux.
Il faudra avec un peu de chance forer et dépasser cette bande d'argile pour trouver dans votre sol un passage d'eau plus profond.

C'est la même chose, l'eau remonte et stagne sous vos fondations.
Elle peut fissurer votre dalle ou créer un phénomène de capillarité surtout si vous avez affaire à de grosse averses.
Les argiles retiennent l'eau et cette eau n'arrive pas à s'évacuer. Certains arrivent à rejeter l'eau vers l'extérieur de l'habitation en installant un système de pompage occasionnel après avoir percé le sol sur un très faible diamètre.
L'on peut aussi parfois drainer la maison.
Tout va dépendre du problème. C'est à voir avec le sourcier.

Au grand dam de beaucoup, sachez que l'eau du sous-sol ne vous appartient pas même si celle-ci est découverte chez vous.
Cela apparaît comme une injustice pour beaucoup, mais nos bureaucrates, ministres et députés en ont décidé ainsi !
Les loi continuent d'être toujours plus contraignantes au fil des années et il faut le dire : l'état tient à garder la main !
Un forage sauvage peut vous exposer à 15000€ d'amende .
Le foreur pourra quant à lui ,exposé à des amendes encore plus lourdes.
Les forages sauvages existeront toujours mais soyez prudent, pensez aussi aux voisins proches qui peuvent êtres jaloux ou aux personnes procédurières... cela existe malheureusement.
Un mois avant votre forage vous devez déposer une déclaration à la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL).
Vous trouverez le formulaire auprès de votre mairie ou sur le site propre à votre département.
Une fois le forage terminé vous devrez encore procéder à quelques démarches supplémentaires.
1/ Déclarer officiellement la fin de vos travaux.
2/ Vous devez fournir aux services des eaux potables toutes les analyses de votre eau ( si elle doit être consommée).
A faire en pharmacie ou en laboratoire d'analyse.
Vérifiez nitrates, pesticides, micro polluants métalliques, métaux lourds ( chrome, cuivre, zinc etc...), résidus de produits pharmaceutiques d'origines diverses A titre d'exemple on relève beaucoup de pesticides et nitrates en région parisienne dans les départements 77, 78, 95.
Si vous êtes allergique à la paperasserie et aux réglementations de toutes sortes souvent compliquées, certains foreurs acceptent parfois de s'occuper de toutes vos démarches administratives.
C'est un point à négocier avec eux. Un compteur d'eau volumétrique devra être installé.
En tant que particulier, vous aurez droit à une consommation gratuite d'eau allant jusqu'à 1000M3 par an.
Au delà on vous taxera le surplus ( rassurez-vous, pas au même prix que l'eau d'alimentation générale) Mille mètres cubes il faut quant même les consommer : c'est beaucoup !

Nous l'avons déjà signalé, les veines de faible surface sont souvent plus instables que les veines plus profondes.
L'eau risque d'être également de moins bonne qualité.
Vous pouvez y trouver pesticides, nitrates, arsenic, fluor etc....
Si la veine est peu profonde il faudra surveiller attentivement son environnement comme par exemple le type d'agriculture près de chez vous, décharge proche, anciennes mines ou endroits à forte teneur en fer.
Beaucoup de veines à moins de quinze mètres de profondeur subiront les effets collatéraux de la sécheresse.
Peu d'entre elles resteront sur un volume constant. Lorsque le débit est faible (à moins de deux mètres cubes/heure) j'ai tendance à dire " attention veine à risque".
La veine peut s'assécher sous le coup d'une forte sécheresse. Tout va dépendre en fait de sa profondeur.
Une autre erreur consiste à vouloir trouver l'eau à tout prix quand il y en a pas ou très peu. Pour satisfaire le client, vous risquez de tomber sur des petites veines qui ne tiendront pas dans la durée.
Mieux vaut alors déconseiller au client de faire ce forage.
C'est dur à entendre mais cela évite des frais inutiles et ou au pire un forage à sec.
Il m'est arrivé par exemple de ne pas valider une veine d'eau qui mesurait 8 mètres de large pour un débit de 2500 litres/heure .
Ce n'était pas normal d'avoir un débit si faible sur une telle largeur. Cela signifiait que l'écoulement s'étalait en une multitude de petits interstices et que celui-ci ne sera pas assez volumineux si l'on fore en son centre ( sur un diamètre de 130mm).
Il aurait fallu forer sur l'ensemble de la largeur pour récupérer la totalité du volume. Chose qui serait totalement impossible.
AUTRES DANGERS:
-L'argile ou les sols marneux. Un secteur marneux composé de silices plus ou moins calcaires peut parfois apporter une eau grisâtre ou jaunâtre. Il faudra souvent chercher l'eau plus profond.
-L'intrusion d'eau de mer. Dans les zones côtières, un aquifère profond peut contenir du sel. Lorsque la saison sèche arrive, le niveau de la nappe baisse et il n'est pas rare de voir l'eau de mer pénétrer sous la terre. L'on appelle cela une intrusion d'eau de mer. L'eau salée devient plus lourde que l'eau douce et cette dernière a tendance à flotter au dessus de la couche salée.
-La tourbe. On dit qu'elle procure une eau tourbeuse. La tourbe est souvent composée de vieilles plantes en décomposition. L'odeur est fortement désagréable et l'eau peut avoir un aspect brun avec un coté très acide
-Canalisation d'eau potable ou canalisation de gaz. La pire chose serait de percer une de ces canalisation. Il est plus prudent de demander le plan d'occupation des sols à votre mairie.
-Colmatage de la veine d'eau par la foreuse. Dans de rares interventions ( avec présence d'argile ou marne ) la foreuse peut de par son action colmater accidentellement l'écoulement de la veine d'eau. Le client croit qu'il a affaire à un forage à sec mais ce n'est pas le cas. La solution consiste à envoyer de l'acide qui débouchera la veine. Il revient au foreur d'effectuer cette tâche.
- L'axe du forage dévié. C'est extrêmement rare mais cela peut arriver. Si la veine n'est pas large et qu'elle est très profonde, le foreur peut rater accidentellement la veine et passer juste à coté. D'où l'intérêt de privilégier les veines larges à gros volume.
-L'autosuggestion. De par son ressenti, le sourcier doit toujours faire attention à ne pas se laisser entraîner dans la fausse piste de l'autosuggestion. Il ne faut pas oublier que le sourcier reste avant tout un être humain.

Dans un rapport de OPECST (office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques) sous le n°215 de la période 2002-2003 et déposé le 18 mars au sénat, il est indiqué que selon une estimation du syndicat des puits et forage d'eau 40% des puits réalisés ont une durée de vie de plus de trente ans. 10% d'entre eux réussissent à atteindre les 50 ans.
Plus le forage est profond plus cela joue en faveur de sa longévité. Il en va de même pour le débit.
Un gros volume saura se montrer plus résistant aux fortes chaleurs qu'un petit volume.

La réponse est oui.
Si le sourcier se déplace et prend le temps d'effectuer sa recherche avec toute la rigueur qui s'impose ( soit deux à trois heures sur place plus son temps et frais de déplacement) vous devrez le régler même s'il ne trouve pas d'eau.
Dans moins de 5 % des interventions du sourcier il arrive que le terrain où il opère soit complètement sec et sans la moindre goutte d'eau.
Bien que cela soit rare, ces terrains désertiques existent réellement.

La aussi la réponse est oui.
Même si le foreur ne trouve pas d'eau après avoir atteint la profondeur indiquée, vous devrez régler son forage.
Si le sourcier a fait correctement et consciencieusement son travail il peut arriver dans de très rare cas que nous ayons affaire à un sol particulièrement complexe de par sa composition géologique.
Encore une fois le risque zéro n'existe malheureusement pas.
Et il peut se passer bien des choses sur 60 mètres de forage.
Je vous rassure toutefois ces cas sont extrêmement rares.
Il est très difficile de rater une veine large de 6 mètres qui fait par exemple 7 mètres cubes/heure. Les techniques appliquées par le sourcier et le foreur sont les mêmes pour l'ensemble des clients.
Les très bons résultats obtenus sont là pour rappeler que rien est dû au fruit du hasard.

Suivant les sociétés de forage et les régions où elles sont implantées, la fourchettes de prix se situe généralement entre 140 et 200 € le mètre linéaire (mètre creusé). Pour la région Parisienne et entre 90 et 100 € le mètre pour le sud de la France. Cela inclus généralement le tubage pvc et le gravillon pour filtrer l'eau.

Auxquels devront s'ajouter les frais de déplacement (souvent au kilomètre) et le prix de la pompe électrique ( une pompe électrique coûte entre 300 et 3000€ suivant les modèles).

Si le forage est profond (à plus de 75 mètres) vous avez toujours matière à négocier. En dessous de cette profondeur cela sera difficile car il faut savoir que la moyenne d'un forage se situe généralement autour de 60 mètres.

Ne cherchez pas à négocier pour 20 mètres de profondeur vous ferez fuir les foreurs surtout qu'ils rechignent à se déplacer pour les petites profondeurs qu'ils jugent souvent pas rentables.

Sachez enfin que les foreurs ne sont pas nombreux et que leur carnet de rendez-vous sont souvent pleins.

La réponse est malheureusement non. Dans les recherches d'eau le risque zéro n'existe pas et cela quelle que soit la notoriété et le savoir faire du sourcier auquel vous faites appel.

Le sourcier a avant tout une obligation de moyens. Il doit mettre en application tous les moyens et tous les contrôles multiples qu'il a à sa connaissance pour aboutir à un forage réussi. Pour autant il n'aura pas une obligation de résultat et ne pourra être tenu responsable en cas d'échec.

Toutes les recherches se font sur la base du ressenti et ne l'oublions pas le soucier reste un être humain. En diversifiant les contrôles sur le terrain il permet d'optimiser au maximum les chances de réussite de votre forage. Encore une fois plus le sourcier pratique, plus son diagnostique est précis et tranchant. Il donnera son maximum ! Son expérience sera par conséquent déterminante.

La collaboration en binôme de deux sourciers  est surtout conseillée pour :

1/ les grandes profondeurs ( de 100 à 300 mètres de profondeur )

2/ Pour la recherche de gros volumes d'eau qui vont de 50 à 120 m3/heure

C'est particulièrement intéressant pour les agriculteurs qui souhaitent procéder à de l'épandage. Les deux sourciers travaillent chacun de leur coté à l'aveugle et compareront plus tard leurs résultats. Ils détermineront ensemble le point de forage.

Cette collaboration offre au client une sécurité maximale sur un enjeu qui représente plusieurs dizaines de milliers d'euros.

  • Arroser un jardin de taille correcte : 15 à 20 litres/jour par mètre carré
  • Remplir une piscine privée : de 50000 à 80000 litres
  • Arroser une belle pelouse : 17 litres / par mètres carré
  • Laver ma voiture : Compter environ 200 litres
  • Irriguer mes cultures  :

a/ 454 litres d'eau pour 1 kg de maïs grain
b/ 238 litres d'eau pour 1 kg de maïs fourrage
c/ 590 litres d'eau pour un kilo de blé
d/ 900 litres d'eau pour 1 kg de soja
e/ 1600 à 5000 litres d'eau pour 1 kg de riz

  • Irriguer mes arbres fruitiers : En moyenne 15 litres par arbre et 30 litres par temps sec. A multiplier par la surface de frondaison
  • Abreuver mes chevaux :

a/ 5,2 litres par jour pour un cheval de 100 kg
b/ 15 litres par jour pour un cheval de 300 à 450 kg
La quantité peut monter par forte chaleur

  • Abreuver mes poneys : 10 à 15 litres par jour et par tête pour un poney de 200 à 300 kg
  • Abreuver mes vaches laitières : Entre 40 et 120 litres par jour en fonction de la saison
  • Abreuver mes vaches à viande : Environ 80 litres par jour
  • Abreuver mes cochons : 4 à 6 litres par jour et par tête
  • Abreuver mon chien : 1 litre par jour pour un animal de 20 kg. Plus au-delà
  • Abreuver mon chat : Entre 160 et 250 ml par jour pour un animal de 4 kg

POUR LA MAISON :

  • Le lave vaisselle : 10 à 20 litres par lavage
  • Eau de cuisine : 5 à 8 litres par jour
  • Douche : 60 à 80 litres à raison de 5 à 6 minutes par personne
  • Bain : 150 à 200 litres par personne
  • Toilette au lavabo : 5 litres environ par personne
  • Chasse d'eau : 6 à 15 litres d'eau par utilisation
  • Chasse d'eau à double commande : de 3 à 6 litres par utilisation
  • Pour créer un bassin d'eau : Multipliez la longueur par la largeur par la hauteur. Exemple : 4X3X1= 12m3

Pour finir, on considère que chaque habitant d'une maison entraîne une consommation journalière de 150 litres ( cela inclut tout, machine à laver, douche, toilette, lave vaisselle, cuisson et eau bue )

Oui, si vous avez sous la maison:

  • Une veine particulièrement virulente ( avec par exemple un gros volume )
  • Deux veines qui se croisent ( à des profondeurs différentes )
  • Une faille tellurique
  • Une veine qui croise une faille
  • Une faille qui laisse passer du radon ( radon: gaz naturel radioactif )
  • Un problème de capillarité ou de moisissures avec l'eau
  •  Des zones géo-pathogènes qui se créent

  • Migraines
  • Insomnies
  • Irascibilité, nervosité
  • Accélération du rythme cardiaque
  • Problème intestinaux ou veineux
  • Accentuation des problèmes d'arthrite et d'arthrose
  • Dans de rares cas, cancers après de longues expositions répétées ( la résistance et le métabolisme de chacun font aussi la différence )

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Il faut d'abord faire faire un diagnostique par un sourcier ou un géobiologue  pour évaluer l'ensemble des problèmes.

Pas besoin de déménager !

Vous pouvez parfois changer la disposition des meubles pour éviter une exposition répétée ( ex : lit, canapé, bureau ) Il faudra les positionner à l'extérieur des veines ou des failles. Evitez toutes les grosses pièces métalliques ( lit en métal , pont pour voiture dans le garage... à fuir. )

Le sourcier peut bloquer l'énergie négative des veines d'eau en amont grâce à plusieurs piquets enfoncés dans la terre à des endroits stratégiques ( cela fonctionne , j'ai testé plusieurs fois )

Vous pouvez juste installer au sein de vos pièces des objets pyramidaux ( nommés ondes de forme ) Il faudra les positionner à des endroits clefs.

Barrer les failles

Vous devez aérer fortement si vous avez un problème d'exposition au radon

Le géobiologue peut également nettoyer les lieux

Les raisons peuvent être nombreuses :

A/ Par manque de précipitations, la veine s'est momentanément ou définitivement asséchée.

B/ La veine d'eau est peut-être descendue plus profondément.

C/ La ou les veines ( il peut y avoir parfois un croisement ) se sont obstruées et elles ont été déviées de leur trajectoire. Il est alors intéressant de faire vérifier les alentours de votre puit par un sourcier.
Si la veine est bouchée vous pouvez éventuellement faire appel à un professionnel qui va vous proposer l'hydro-fracturation.
Cela consiste à déboucher la veine par l'injection d'eau potable sous forte pression. Cela déloge les sédiments qui bloquent votre veine ou l'écoulement de micro-fissures.
Certains foreurs utilisent également des injections d'acide pour aider aux opérations de forage mais c'est beaucoup moins écolo.

D/ Votre veine est peut-être déjà utilisée en amont par quelqu'un d'autre ( agriculteur ou particulier ). Comme vous passez en second cela peut expliquer que votre volume d'eau baisse ou disparaisse.

Sachez enfin que les foreurs rechignent souvent de forer un puit à sec. C'est souvent problématique pour eux.